Pour appeler la première semaine du président Trump sur le tas polémique serait probablement l'euphémisme du siècle. Mouvementé? Divisive? Une véritable montagne ronde d'émotions pour les fans et les détracteurs, les électeurs et les opposants, les nationaux et les étrangers? Ça a l'air juste.
Une interdiction temporaire d'entrée des Etats-Unis sur les citoyens de sept pays majoritaires musulmans a vraisemblablement suscité la plus forte réaction, positifs et négatifs, depuis la signature vendredi de l'Ordre 13769, mais peut-être la meilleure réaction neutre est venue il ya quelques heures de la messagerie instantanée et de la voix Sur le service IP Viber.Neutre en apparence, du moins, parce que le fond est très émotionnel et subjectif. Le président et chef de la direction de Rakuten, la société mère de Viber, basée au Japon, a tweeté son «feedback» viscéral pour les mesures de «vérification extrême» de Donald Trump, les qualifiant de mauvais et discriminatoires, avant de lancer des appels internationaux gratuits vers tous les pays interdits .
Sur le site officiel de Viber, il n'y a pas d'avis sur l'ordonnance exécutive, juste une déclaration compatissante d'une mission de «relier les gens», «peu importe qui ils sont ou d'où ils viennent». Nous pouvons tous être d'accord sur ce point, n'est-ce pas?
N'oubliez pas que seuls les appels Viber Out aux numéros fixes et mobiles sont généralement facturés sur une base par minute, tous ces frais étant renoncés indéfiniment entre les États-Unis et la Syrie, l'Irak, l'Iran, la Libye, la Somalie, le Soudan et le Yémen.